• Suite du post précédant.





    ... il sert très fort mon poignet, l'entour avec une cordelette qu'il a pris dans sa poche. Il saisi mon autre bras et le ligote avec l'autre.





    Il a lâché mon cou je peux enfin respirer je releve la tête et hurle de toute mes forces mais mon baillon étouffe mes cris.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>-taie toi ! de toute façon ça ne sert à rien de crier personne ne t'entendra.
    <o:p> </o:p>



    C'est alors qu'il se rallonge de tout son long sur moi, qu'il tend le bras pour allumer ma minichaîne qui se trouve à la tête de mon lit et met de la musique.





    La musique n'est pas forte mais elle suffit à couvrir totalement mes hurlements qui n'étaient déjà pas très perceptibles.





    C'es deux mains sur mes épaules il prend du plaisir a m'écrasé.



    -tu vois je t'avais dit que ce soir tu serais a moi !
    -j'aime pas qu'une femme me dise non !


    <o:p> </o:p>
    Il commence a se frotter contre moi. Une de ses mains plaque les miennes contre mon dos.
    Je relève la tête est hurle encore.


    -vas y si ça te fais plaisir mais je te l'ai déjà dit ça ne sert a rien. Me dit t il d'un ton satisfait et moqueur.


    C'est alors que je sens son autre main dans le creu de mon genou puis  sur le bas de ma cuisse, il remonte ma jupe avec sa main doucement.




    -jolis bas... dit il en caressant la dentelle noire de mes dim up





    sa main remonte encore plus ma jupe et touche le bombé de mes fesses

    - mais dis moi c'est alléchant, rien qu'au toucher !
    <o:p> </o:p>



    Je hurle de plus en plus, et de plus en plus je sais que je me fatigue pour rien.

    <o:p> </o:p>Il arrive au niveau de mon Tanga * il le contourne avec ses doigts, il est à l'entré de mon sexe le caresse et rentre un doigt, puis deux.




    -mais dit moi tu es chaude comme la braise ! je vais te faire mouiller tu vas voir !!!



    il rentre et sort ses deux doigts de plus en plus vite et de plus en plus fort dans mon sexe.

    <o:p> </o:p>



    pendant ce temps J'hurle avec l'énergie du désespoir.

    <o:p> </o:p>-Tu aimes ça ?!!!
    <o:p> </o:p>
    Ta chatte est douce j'ai envie de la voir !




    Il lâche alors mes poignets, me prend par les épaules et me retourne.





    Je le vois enfin. Il a une cagoule sur le visage je ne vois que ses yeux et sa bouche. Il est impressionnant .



    Je me débat et crie encore.





    -Tais toi !



    je gigote dans tous les sens. malgrès  tout il saisie mes jambes et me tire en me faisant pivoter de manière à ce que mes pieds touche le sol.

    <o:p> </o:p>



    La «  glissade" sur le lit a remonté encore plus haut ma jupe qui ne fait alors q'un bandeau autours de ma taille.





    Je me redresse et d'un geste il me repousse sur le lit.





    Je me redresse encore, il me repousse à nouveau et me dit en s'aprochant de mon visage 

    <o:p> </o:p>-Moins tu te débâteras et plus ça sera agréable pour toi comme pour moi !
    <o:p> </o:p>-tu sais je crois que l'on va bien s'amuser.

     


    <o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p>  la suite cette apres midi</o:p>

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  • 23h... l'heure à la quelle mon observateur m'a ordonné de me mettre en scène et de danser pour lui devant la fenêtre...





    Que doit je faire ?





    Lui obéir ?





    Lui tenir tête ?





    Personne jusqu'à lors ne ma dicté ma conduite et donné des ordres ce n'est pas un inconnu qui va commencer !





    00h30, mon DVD se termine. Je le range dans sa boite.





    J'ai du le voir 100 fois ! J'adore ce film (danse avec les loups) j'ai un coté très nature et Kevin Corsner est tellement sexy en défenseur des indiens ;)... les paysages sont magiques... bref je me suis encore régalée !





     





    Mes paupières sont lourdes, les cheveux ébouriffés légèrement humides je traverse le salon, vérifie que tout est bien éteint et me dirige vers la salle de bain pour m'y brosser les dents et me sécher les cheveux.





    Comme chaque soir j'accroche mon peignoir à la patère de la salle de bain et me dirige nue vers mon lit.





    Sans même prendre la peine d'enfiler ma nuisette, je défait le lit et m'y glisse. Ma nuque se cale parfaitement sur l'oreiller, les cheveux dégagés vers un seul coté, « En chien de fusil » mon corps se détend et je m'endors tranquillement.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>



    Pour la dernière fois de la semaine mon réveil sonne, 7 :00.





     





    La nuit fut courte ! demain je ferais la grasse mat'... !





     





    Je file a la salle de bain, releve mes cheveux avec un pince, rentre dans la douche.





    l'eau coule sur mes épaules, dans ma nuque, sur mes seins qui se dressent sous le jet frais.





    Puis, je ferme l'eau et prends la savonnette.





    Je commence par faire mousser mon savon dans mes mains puis caresse mes bras, mes épaules puis mes seins. Me pince légèrement les tétons (1ers frissons du matin).

    <o:p> </o:p>



    C'est au tour de mon ventre... je frotte en rond avant de passer ma main sur mon sexe et d'y faire renter 2 doigts doucement. Mon autre main pose le savon et vient caresser mes fesses bombées. Je m'attarde dans ma fente et touche mon anus. Mes deux mains sont alors chacune à s'occuper de moi.





    J'aime cette sensation de propreté immense... . Pendant plusieurs minutes je vais monter et descendre mes mains le long de mon corps et profiter de cet instant de détente.... .





    J'ouvre les yeux j'ai encore passé trop de temps passé sous la douche !!! resultat : je mange sur le pouce, bois une gorgé de café même pas sucré, je suis à la bourre comme chaque vendredi !!!

    <o:p> </o:p>



    J'en connais un qui va encore râler !

    <o:p> </o:p>



    J'enfile mes talons, prends mon long manteau, enroule mon écharpe rouge autours de mon coup, prends mes clefs de voiture, les mets dans ma poche et claque la porte de mon appartement.

    <o:p> </o:p>



    Je dévale les escalier pour arriver jusqu'au sous sol. J'allume la lumière du parking et me dirige à petites foulées vers ma voiture. Mes talons résonnent sur le sol bétonné.





    Je sors les clefs de mes poches.





    J'aperçois une lettre glissée sous l'essuie glace.

    <o:p> </o:p>



    « DOMAGE ! » Est écris en gros sur l'enveloppe.





    Je la prends, sachant que c'est « lui »... .





    Je m'assois dans la voiture ferme la porte à clef et ouvre la lettre.

    <o:p> </o:p>Alors comme ça on ne veut pas danser pour moi ?
    Je t'ai attendu hier soir.
    Je suis très déçu.
    <o:p></o:p> Ce soir tu ferras ce que je te demande.
    J'en suis sur.
    Tu n'auras pas le choix.
    <o:p> </o:p>-Mais il ne va pas me lâcher celui là ???
    Obsédé mal baisé !
    Va voir un psy !
    <o:p> </o:p>



    Enervée je démarre ma voiture en marche arrière pour sortir du parking.

    <o:p> </o:p>



    Il est 9:35, ma réunion commence dans moins de 30 minutes je n ‘ai pas intêret à traîner !!!

    <o:p> </o:p>



    Comme prévu mon patron ronchonne un peu :





    -heureusement que c'est en partie grâce à vous si nous avons décroché le gros contrat avec les japonais avant-hier, si non ! .... Et il me mime une fessée.

    <o:p> </o:p>



    La journée se passe tranquillement, dans ma tête je suis déjà en week end !





    La semaine fut chargée, pas très envie de bosser cette après midi... .

    <o:p> </o:p>



    18 :30 certains sont encore à font dans leurs dossiers, je m'esquive discrètement.

    <o:p> </o:p>



    -Bon week Claudia ! Me lance un de mes collègues. je rougis.





    -On t'a vu. Me lance un autre le sourire moqueur.





    -Aller file va ;) me dit un 3eme

    <o:p> </o:p>



    -Salut les mecs à lundi et bon week end ! Je leur réponds avec un sourire franc et direct

    <o:p> </o:p>



    Ma voiture est bien sage, garée sur le parking, éclairée par un réverbère un peu fatigué lui aussi.





    Je m'assois dans la voiture, me recoiffe légèrement dans le rétro et démarre.

    <o:p> </o:p>-c'est le week end !!!!  YES !!!
    <o:p> </o:p>



    La voiture file, les feux comme par magie passent au vert dès qu je m'en approche.





     

    - C'est mon jour de chance !
    <o:p> </o:p>Il est 19h 17 quand je passe l'entrée du parking.
    Je me gare. ferme soigneusement la voiture et me dirige vers la porte du hall d'entrée.




    La concierge me salue derrière son rideau, je lui répond d'un franc sourire et d'un geste de la tête.





     





    -Toujours derrière ses carreaux celle là ! C'est cool comme boulot quand même ! Pensai je dans ma tête un peu moqueuse.

    <o:p> </o:p>



    Il ne me reste plus qu'à monter mes 4 étages à pied et je serai enfin tranquille !





    Arrivée devant ma porte, je prends mes clefs et les glisse dans la serrure...





    Tiens, la clef ne tourne pas...





    J'ai du oublier de fermer ma porte ce matin... dans la précipitation ...

    <o:p> </o:p>



    Je pousse la porte, il fait nuit noir.





    J'allume la lumière de l'entrée et dépose mon manteau et mon sac.

    <o:p> </o:p>



    Machinalement je passe par ma chambre pour aller me laver les mains dans la salle de bain. C'est alors que je vois de la lumière chez mon cher voisin. Au même moment il passe devant la fenêtre et me regarde. Il me fait un signe de la main je lui répond et m'en retourne.

    <o:p> </o:p>



    Mes mains sentent bon la lavande, me voilà devant mon lit.

    <o:p> </o:p>



    J'aperçois un livre que j'ai envie de relire. Il se lit facilement et rapidement, un week end me suffira pour le finir.





    Je décide donc de m'allonger sur le lit, j'attrape mon livre : « et si c'était vrai » je l'ouvre et commence le 1ere chapitre.

    <o:p> </o:p>



    D'un seul coup je sens une main sur mes chevilles.





    Je n'ai pas le temps de me retourner que je suis écrasé par un poids énorme ! quelqu'un c'est allongé sur moi! Une de ses mains tiens mon cou appuyer sur l'oreiller. La face dans l'oreillerje ne comprends pas ce qui m'arrive.

    <o:p> </o:p>-Tu as voulu jouer ?
    On va jouer !!! Mais c'est moi qui décide cette fois.
    <o:p> </o:p>Allongé sur moi il saisie ma nuisette se trouvant sur le lit et m'en fait un bâillon.




    La tête toujours dans l'oreiller je commence à manquer d'air et à paniquer.

    <o:p> </o:p>



    Mes bras sont coincés sous mon corps je ne peux pas les bouger.

    <o:p> </o:p>



    Bâillonnée, écrasée sous au moins 90kg je ne peux que subir.

    <o:p> </o:p>



    Mon agresseur semble agile et décidé.

    <o:p> </o:p>



    Maintenant assis à califourchon sur mon dos, avec son autre main il semble fouiller dans sa poche. Il dépose une première chose près de ma tête puis une deuxième.

    <o:p> </o:p>



    Il passe alors sa main sous mon corps et me tire un bras. Je résiste. Avec son autre main toujours serrant mon coup il attrape mes cheveux et tire d'un coup sec.

    <o:p> </o:p>Sous la douleur je lâche prise 1/4 de seconde, il réussi à décoincer de sous nos corps mon bras droit...

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  • Depuis 1 semaine tous les jours en rentrant chez moi après le travail je regarde le pot de fleur du hall de mon immeuble derrière lequel je suis censée déposer une lettre pour mon voisin voyeur qui s'est invité à « notre » jeu sans y être convié.

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    Depuis 1 semaine je ne joue plus avec mon complice. Pourtant il est là tous les soirs devant sa fenêtre à m'attendre ... et moi je meurs d'envie de m'offrir à lui...

    <o:p> </o:p>


    Mon coté exhib a sans doute atteint ses limites... du moins en ce qui concerne ce jeu là ! je ne veux pas que l'autre en profite ; non pas parce que c'est un homme de plus a me mater, non, mais parce qu'il m'a rendue mal a l'aise. Depuis cette lettre je me sens observée, suivi. Comme emprisonnée de regards tordus et malsains...

    <o:p> </o:p>


    Je sais j'ai été bête de croire que seul mon amant platonique était le seul à pouvoir me voir... .

    <o:p> </o:p>


    Je vais arrêter ce petit jeu pour rentrer chez moi plus tranquile!

    <o:p> </o:p>


    L'autre ne m'intéresse pas... alors pour arrêter ce petit jeu je décide de lui obéir.

    <o:p> </o:p>


    Je dépose discrètement une lettre à l'endroit convenu (derrière le pot à fleur qui se trouve du coté gauche quand on entre dans le hall de l'immeuble ) qui dit ceci :

    <o:p> </o:p>Monsieur,
    Votre proposition ne m'interesse en aucune manière.
    J'ai été prise à mon propre piège. Je me suis rendue aveugle seule, en ne voulant voir que mon complice. Rien n'existant autours au moment ou je jouait avec lui.



    je regrete! j'arrete.

    Je ne me montrerai plus à la fenêtre.
    Ce fut de l'inconscience.
    Cordialement.
    <o:p> </o:p>


    Le soir même pendant que je prenais ma douche, quelqu'un glissa sous ma porte une lettre. Sans nom.




     




    -C'est lui !




     




    Mon cœur explose dans ma poitrine, mes mains tremblent. Cet homme me fait peur.

    <o:p> </o:p>-Quelle idiote ! Quelle idiote !!! Ça t'apprendra à jouer les allumeuses !
    <o:p> </o:p>


    En peignoir, les cheveux mouillés, le dos à la porte, je regarde cette enveloppe qui me fait peur et m'intrigue.

    <o:p> </o:p>


    Je me dirige vers ma chambre et m'assois sur mon lit.




    Je l'ouvre. La déplie doucement.




     L'écriture est régulière est soignée au début puis plus il écrit et plus l'écriture est grosse et irrégulière.

    <o:p> </o:p>Chère voisine.
    Avant de jouer il faut savoir que l'on peu perdre.
    Avant de s'exhiber il faut savoir que l'on peu être vu.
    Avant de vouloir reculer il faut s'assurer de ne pas être déjà dos au mur.
    Avant de dire non à quelqu'un il faut savoir qu'il peut ne pas l'accepter.
    Je n'accepte pas que tu me dises non.
    <o:p> </o:p>Tu as voulu jouer,
    La partie ne fait que commencer.
    C'est moi qui ai les dés en mains maintenant.
    <o:p> </o:p>Tous les soirs tu recevra une lettre, tous les soirs tu feras ce qu'elle te diras de faire.
    <o:p> </o:p>Si tu ne le fais pas, sache que je suis là. Et que tu le regretteras...
    <o:p> </o:p>Ce soir à 23h je te veux à la fenêtre ! Rideaux grands ouverts ! Je veux que tu danses pour moi !
    A tout à l'heure.
    <o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p>


    Ps : obéis et tu seras récompensée, désobéi et alors tu le regretteras.


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  • En rentrant de mes quelques jours de vacances, je trouve glissé sous ma porte une lettre.

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    Lettre à la main, Je pose ma valise, retire mon long manteau, puis me déchausse.





    J'allume les lumières du salon et m'affale dans le canapé. Le voyage m'a épuisé.





    Je regarde cette lettre intriguée la retourne dans tous les sens pour voir si elle comporte un nom. L'enveloppe et définitivement vierge de toute écriture.

    <o:p> </o:p>



    Je l'ouvre. La déplie et commence à la lire.

    Ma chère Melle
    J'avoue avoir cherché longtemps votre appartement, ne connaissant pas votre nom ni votre prénom ce fut non sans difficulté. Merci à notre chère concierge qui est comme chacun sait observatrice et curieuse de tout.
    Je lui fis une description de vous. Elle me le donna sans poser de questions le numéro de votre appartement.
    Tout ceci pour vous dire chère demoiselle que j'aime beaucoup la chute de vos reins. Le bombé de vos seins et la blancheur de votre peau.
    Je trouve charmant ce grain de beauté que vous avez au creux de la nuque. J'aimerai beaucoup le lécher, comme votre chatte d'ailleurs.
    Votre jeu de séduction avec notre voisin me plait beaucoup, malheureusement il ne m'est pas destiné et cela m'attriste. Vos jambes m'excites également, surtout quand vous les écartées.
    <o:p> </o:p>Je serai ravi que vous m'invitiez à rentrer chez vous pour que nous puissions baiser sur votre canapé entre vos cousins et sur la table basse que je vous prenne par l'arrière. Afin de contempler ce cul magnifique que vous lui offrez tous les soir à lui depuis des semaines.
    <o:p> </o:p>Qu'en dites vous ?
    <o:p> </o:p>Au faite votre orchidée manque d'eau, il serait bon de l'arroser et ne pas la laisser trop près de votre radiateur.
    <o:p> </o:p>Vous n'aurez qu'à me répondre en laissant une lettre entre le mur et le pot de fleurs à gauche du hall d'entrer quand vous rentrez de votre travail demain soir.
    A bientôt ma chère voisine
    Excite moi encore ce soir ma belle ...
    <o:p> </o:p>



     Je regarde autour de moi, bondi, jette la lettre au sol et ferme les doubles rideaux du salon. je me retourne dos aux rideaux clos vers ma fleur.

    <o:p> </o:p>



    Mon orchidée était effectivement mal en point, mais comment avez t il pu le savoir ?





    Il était venu ici !

    <o:p> </o:p>



    Un frisson parcourra tout mon corps.

    <o:p> </o:p>



    Je ferme alors tous mes rideaux, mon verrou à doubles tours.





    J'éteins les lumières. Me déshabille dans le noir et me couche au plus vite comme pour me protéger avec la couette.

    <o:p> </o:p>



    Je me tourne et retourne dans mon lit... et si mon petit voisin me jouait un tour,





    Je me leva et regarda discrètement à la fenêtre. Il était là ; il attendait ...

    <o:p> </o:p>



    Ce soir je ne jouerais pas.


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  • J'imagine que mon complice rentre dans mon appartement, doucement s'avance vers moi, baisse son zip, sort son sexe dur et fort puis me pénètre par l'arrière. Je sursaute, il m'arrache un cris. Je me cambre alors, pour lui faciliter la tache. Mon cul bombé lui est offert. Il va et vient, ses mains compressent mes seins pince mes tétons doucement et fermement.Je sens ses mains. elles sont douces et expertes dans l'art de la caresse. Les bras tendus, mains posées sur ma fenêtre pour me tenir le plus cambré possible je lui appartiens totalement.Son sexe est dur à souhait, à chaque va et vient dans mon cul il me fait crier de plus en plus fort.Je sens sa main gauche rentrer dans mon sexe. Il saisie mon clito entre ses deux doigts et le fait «rouler».-hoooo oui !!!! put.... !!! Encore ... défonce moi, fais moi jjjjouiiiiiiirje résiste pour que cet instant dur encore et encore mais...mes jambes ne me soutiennent plus.Je me laisse glisser le long de la fenêtre jusqu'à avoir les genoux à terre. J'ouvre enfin les yeux, abasourdi partant de sensations et de plaisir.Je suis face à la fenêtre de mon mateur.Il me regarde avec un grand sourire satisfait.Instinctivement je cache ma poitrine en croisant un bras sur elle. Puis d'un geste rapide je saisie avec mon autre main les rideaux. J'allume ma lampe de chevet puis me tourne le cul face à la fenêtre pour éteindre les bougies qui jonche le sol contre le mur.Il est l'heure de se coucher... je me lève, regarde mon lit : un petit papier plié y est posé. Je m'assois sur le lit, prend ce le papier et le déplie.... A DEMAINTon voisin, D.

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