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claudia et nicolas : la declaration
Je suis dans la voiture, nerveuse, j'attends Nicolas qui doit arriver d'une minute à l'autre.
Je ne quitte pas les yeux la Mercedes Noire aux vitres tintées qui m'a suivi jusqu'ici. Seule une voiture nous sépare. Je n'arrête pas de jeter un coup d œil dans le rétro pour voir si quelqu'un sort ou rentre dans le véhicule.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Les minutes me semblent interminables. Le stress monte.
<o:p> </o:p>Quelqu'un frappe à la vitre côté passager, je sursaute.
-Ouvre moi, c'est Nico...
<o:p> </o:p>je déverrouille les porte, me penche vers la porte et tire la poignée
Nicolas ouvre la porte et se glisse dans la voiture.
-Et bien alors ma puce ?! Que ce passe t'il tu a l'air toute retournée ! Ta journée ne c'est pas bien passée ? Elle est où cette voiture qui t'as suivie ?...-Elle se trouve derrière la voiture qui est derrière nous, c'est la Mercedes Noire, tu la vois ? lui dis je tout en continuant de guetter le moindre mouvement de la grosse berline.
-oui d'accord je la vois, es tu sur qu'elle t'a suivie jusqu'ici ? Elle peut très bien attendre quelqu'un...Nous allons descendre tranquillement de la voiture, tu verras que tout va bien se passer... tu me fais confiance ? Il m'embrasse tendrement.
Je le regarde d'une façon qu'il ne peut cacher mes sentiments pour lui.
-aller courage ma belle, je suis là. Me dit t il en me faisant un clin d œil complice.
Nous descendons ensemble de la voiture les portes calquent en même temps.
Il contourne la voiture et s »'approche de moi pour me prendre la main
-aller vient, rentrons chez nous. Dit il.
je lui souris ...(il a dit « chez nous »... cela me touche...)
<o:p> </o:p>Nous longeons les quelques mètres de trottoir qui nous sépare de l'entrée de notre immeuble. Bras dessus bras dessous nous poussons les grandes portes vitrées et nous nous dirigeons vers l'ascenseur qui ne tarde pas à arriver.
<o:p> </o:p>Les portes se refermes dernière nous. Je m'appuis contre la paroi de la cabine. Tout en me tenant par la main Nicolas appuis sur le bouton « 4eme ». Il se retourne et doucement me prends par la nuque en dégageant mes cheveux vers l'arrière. Il me regarde droit dans les yeux et me dit :
-Je n'ai jamais été aussi heureux que depuis que tu es entrée dans ma vie. Tu manquais à mon équilibre... Je ne veux plus que l'on se quitte... Je t'aime Claudia.-Moi aussi je t'aime Nico... je...Nous nous embrassons tendrement, j'ai pour la 1ere fois les jambes qui trembles.<o:p> </o:p>Les portes de l'assesseur s'ouvrent et se ferment depuis quelques secondes...
-viens on sera mieux à la maison me dit t-il en me prenant par la main.
<o:p> </o:p>Devant la porte le désirs monte.
Il cherche ses clefs et les tournent dans la serrure, pousse la porte et m'invite à rentrer.
Il referme la porte derrière lui, saisie doucement le col de mon imper, descend ses mains jusqu'à la ceinture qu'il dénoue doucement,
L'entrouvre et remonte jusqu'au col qu'il écarte d'avantage jusqu'à e qu'il glisse le long de mes bras....
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Commentaires
2badboy59Vendredi 23 Mars 2007 à 10:52ça y est
je suis là, pour lire la suite, j'adore, continue, hein? bises douces et coquines Claudia4chrisVendredi 23 Mars 2007 à 11:35Oui, c'est Vendredi...
... jour des ascenseurs et des envies qui y naissent... Cet imper a décidemment bien trop de boutons, mais c'est tellement bon de les ouvrir les uns après les autres et de se laisser émerveilelr par ses découvertes.salut Claudia...
m'ouais toi aussi tu as mis un "cul" mais quel joli "cul" pas de vulgarité, exellent..., juste ce qu'il faut pas plus.Et rien de tel qu'une belle histoire d'amour.Au moins ça !! c'est écrire et on aime lire. Bisesbonsoir Claudia..
oui hier très énervée...aujourd'hui redevenue très sensuelle. Bises du soir
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i.nconnue, toula, je tu elles, cokinou, mon sascha d'amour ;))) et bien d autres encore ;) bises tendres ! l'heure n'est plus à la detente... c'est vendredi ;) !!!